Bloc Occupé ce mardi à St. Mich / Bloque Okupado este martes en St. Michel – Bordeaux

[CAS] Este martes, por el mediodia, en un callejon del barrio st. Michel en Burdeos, se han dado hechos  mas bien fuertes para la sociedad francesa,despues elecciones espectacularmente ridiculas, particular y generalmente xenofobas.

Entonces, un domingo, africanos del norte, europeos del sur, franceses, solicitantes de asilo subsaharianos, en corto, toman de forma unilateral un conjunto inmobiliario que estaba en manos de un gran consorcio publico-privado. InCité, hija de la Metropole burdelesa, el padre sera probablemente el Estado y algunos grandes corporatos de las obras publicas y de la gestion inmobiliaria, como Vinci y Domofrance.
A la llegada del segurata al servicio de la seguridad de los locales vaciados hace 2 años y medio*, la decena de personas presentes sale a la calle para dejar ver al señor el interior del edificio en reestructuracion okupa. El agente, aterrado, se aleja y toma su smartphone, llamando a su patron y a los Agentes del Orden, temiendo las posibles consecuencias de un error de calculo numerico-legal. Males de una profesion tan semejantemente mal-paga, auto-degradante y inutil.

Mientras, alguna peña, tanto habitantes que estaban afuera como sus apoyos, quedan afuera en los cruces para vigilar el gracioso desfilar de carnaval de las corbatas y uniformes metropolitares. Para hacerlo corto – corbatas, maderos, paletos (saltando una ventana para cortar la luz, del lado de la calle Planterose), y finalmente, el oficial de justicia, Jean Casimiro, verdugo legal de mayor parte de los archivos de okupacion de la metropole, que procede a hacer su aparentemente inofensivo  curro de tomar los nombres, sacar fotos, y ser insultado de sucio bastardo por parte de veraneantes.
Por conseguiente, una primer victoria por el establecimiento de una okupa esta cercana.

Vamos, este martes a sido tambien el primer dia de trabajo apos este finde alargado por el festivo dedicado a la final de la segunda guerra mundial, para la vida burdelesa tambien particular del barrio de st. Michel.
Mayoritariamente habitante del barrio, evoluyendo durante un periodo especifico de la historia, las gentes de st. Mich – no puede ser una identidad comun, la encuentro mas bien esparcida y heterogenea -, estan habituadas a instalarse y mudarse. Un periodo reciente de un barrio, desarrollado entre transformaciones, tormentas y movimientos bruscos y masivos de poblaciones y mercancias. Por planificaciones metropolitanas perforando la naturaleza rebelde de sus plazas y calles.

Por revueltas de medianoche. Por conciertos al final de la tarde.
Bueno, entonces los ocupantes dicen que el vecindario es simpatico y compreensivo.
St. Mich es un nucleo que se teje de historias, no? Aaah.
Barato. Caliente. Proximamente un solo seco sobre el quel construir una vida para mas de una decena de personas, algunas endosadas de indeseables por el Estado francés -y no solo-, pero para un cierto vecindario que se identifica en la vida no-linear y inquietante de st. Michel, la confianza se desarrolla en otros tipos de relacion.

Okupa tu vida, abandona tus cadenas, las quebraremos asi que nos encontremos.
Salud, nos vemos en los tejados.


(El alquiler es el robo)

*el lado de la calle de Bouviers a sido previamente habitada por un joven colectivo, que habian nombrado el lugar ‘el Streum’. Aqui un enlace para un pedazo de su historia:
https://fr.squat.net/2014/03/22/bordeaux-presentation-du-streum-et-semaine-de-travaux

[FR] Ce mardi, vers midi, dans une ruelle du quartier st. Mich, se sont derroulés des faits plutôt accablantes pour la bonne société française, aprés des élections spectaculairement ridicules et particuliérement et en géneral, xénophobes.

Alors, un dimanche, des nord-africains, sud-européens, français.es, demandeurs d’asile subsahariens, bref, des gens prennent de forme unilatérale un ensemble immobilier qu’était aux mains d’un gros consort publico-privée. InCité, fille de la Métropole bordelaise, le pére sera probablement l’Etat et quelques gros corporats de la gestion immobilière, dont Domofrance.
A la venue d’un vigile au service du mantien de la sécurité des locaux vidées ça fait 2 ans et demi*, la dizaine de gens présentes sort à la rue pour laisser montrer à messieur l’intérieur du bâtiment en ménagement. L’agent, terrifié, s’éloigne et prend son smartphone, appelant son patron et les Agents de l’Ordre, craignant les possibles conséquences d’un erreur de calcul numerico-légal. Maux d’un métier de forme aussi pareillement mal-payée, auto-dégradante et inutile.

Entretemps, quelques gens, autant des habitants qu’étaient en dehors comme ses soutiens, restent dehors sur les croisements pour surveiller le joli défilé de carnaval des cravates et uniformes métropolitaires. Pour faire bref – cravates, keufs, ouvriers (sautant par une fenêtre sur une porte pour couper l’élec, côté Planterose), et finalement, l’huissier, Jean Casimiro, bourreau légal de plupart des archives de squat de la métropole, qui procéde à faire son apparament innouit boulot d’enlever des noms, prendre des photos, et d’être insulté de salle bâtard par des passants.
Du coup, une première victoire pour l’établissement d’un squat est proche.

Bref, ce mardi a aussi été le premier jour de travail aprés ce weekend élargi par un férié dédié à la fin de la 2éme guerre mondiale, pour la aussi particulière vie bordelaise du quartier st. Michel.
Pour la plupart habitante du quartier, évoluant pendant une période spécifique de l’histoire, les gens de st. Mich -ce ne peut pas être une identité commune, je la trouve plutôt éparse et hétérogéne-, se sont habituées à aménager et démenager. Une période récente d’un quartier, developé entre transformations, tourmentes et bousculements massifs de populations et marchandises. Par des aménagements métropolitains perçant la nature rebelle de ses places et rues.
Par des révoltes de minuit. Par des concerts en fin d’aprem.

Bon, du coup les occupants disent que le voisinage est sympha est comprehensif.
St. Mich est un noyau qui se tisse d’histoires, ne l’est il pas. Aaah.
Pas cher. Chaud. Bientôt un sol sec sur lequel bâtir une vie pour plus d’une dizaine de gens, pour quelques endossées d’indésirables par l’Etat français -et pas que-, mais pour un certain voisinage qui se revoit dans la vie non-lineaire et ébranlante de st. Michel, la confiance se develope dans d’autres rapports.

Squat ta vie, déserte tes chaînes, on les cassera aussitôt qu’on se retrouve. Salut, on se voît sur les toîts.

*auparavant le côté de la rue des Bouviers à était habité par un jeune collectif, qu’avaient nommé le lieu ‘Le Streum’. Voici un lien pour un bout de son histoire:
https://fr.squat.net/…/bordeaux-presentation-du-streum-et-s…