Squatteurs 3 – 0 Incité, le Film!

https://www.youtube.com/watch?v=BmhrmdrKUKQ

Deux maisons squattées, ses locaux vandalisées deux fois consecutives en avril, une voiture embarquée, 3-0 est le score pour le moment de la saison Printemps 2017 de la Metropole Cup Bdx-Centre. Incitè prends chère.

ALLEEEEZ LES INCIVIQUES ALLEZ!

Dos kasas okupadas, su local vandalizado dos veces consecutivas en Abril, un coche en remolque, 3-0 es por ahora el resultado de la temporada Primavera 2017 de la Copa Metropole Centro-Burdeos. Incitè paga caro.

Rompiendo la linea – conflictualidad en las viñas / Brisant le rang – conflictualité aux vignes. Cpt I

[CAS]
Casi un año después del bloqueo de la Rocade, organisado de manera – casi – informal, al motivo de la inauguracion de la Citè du Vin [enorme edificio-museo/restaurante de lujo al precio de 80 millones, todo dedicado a los vinos de Burdeos, con una entrada por 20 duros] y de consecuente venida de François Hollande [a la epoca presidente de la republica] durante los momentos de agitacion contra la nueva Ley Laboral, publicamos aqui en linea por la primera vez traducido en francés y en soporte virtual, el llamado a la huelga salvage que a empezado a circular 3 dias antes de esta jornada.
Contextualizacion por Vendanger à la segunda mitad del articulo – JUEVES.

LLAMADO A HUELGA SALVAGE EN LOS VIÑEDOS DE BURDEOS
31 de Mayo [2016]

Concentración unitaria frente a la Cité du Vin – Bassins a Flot

Contra la explotación de la juventud migrante y autóctona
Contra la represión policial a estas mismas juventudes
Por el boicot, ocupación y demolición de la Cité du Vin

Desde el 9 de Marzo, se esta viviendo un movimiento de evolución insurreccional en toda la superficie del Estado Francés.
Todo se ha activado al momento de la presentación del proyecto de Ley “TRABAJA!” Loi “Travaille!”/Loi el-Kohmri, por el ejecutivo Socialista en el Poder.
Pero la tensión social era ya insoportable, desde que Macron, gran industrial, fue promovido a Ministro de la Economía y todxs eran obligadxs a ser Charlie y la Policia, Héroes del Año 2015.
Hoy día la sola realidad es que las calles gritan
“TOUT LE MONDE DÉTESTE LA POLICE”

El movimiento fue lanzado por la respuesta de la juventud a varios llamados en youtube a protestar y bloquear la economía. Los sindicatos, desde el inicio, vinieron a remolque, intentaron varias maniobras para ultrapasar nuestras pancartas, pero fueron rechazados al culo de la mani’ a cada intento. Ahora, bloqueos de refinerías, de centrales nucleares, de almacenes y de la red de transportes colapsan el flujo de mercancías de la gran potencia europea y combaten la Ley.

La juventud migrada de los pueblos del sur no puede continuar estando ajena de todo este movimiento – pues en nosotrxs se ejerce la explotación más feroz y desvergonzada, y en nosotrxs reside la fuerza de trabajo, que sustraída a la economía y añadida a la fuerza del bloqueo económico, nos permitirá a todxs una vida mágica.
No hagamos el papel de sindicato amarillo, pues solamente pagaremos con nuestro respecto y con horas extra no remuneradas (la ley “trabaja!” prevé el fin de las 35h y la menor remuneración de las horas extra).

A la juventud de los barrios e institutos de Francia se le ha agotado la paciencia.
Llevan a cabo manifestaciones que van mas allá que la simple reivindicación de la retirada de la Ley: transbordando los sindicatos, luchan por la disolución de la BAC (secreta de la Policia Nacional), por el desarmamiento de los antidisturbios (en los primeros días de Marzo fueron encomendadas millones de municiones para las nuevas peloteras de goma LBD40 y granadas de dispersión distribuidas y testadas por los estados de Magreb y Medio Oriente durante la Primavera Árabe).
Saquean las superficies comerciales, cierran a piedrazos sus celdas de la Educación – Se Insurgen.
Luchan contra la Ley. Luchan contra el Trabajo.
Pretenden poder disfrutar del Placer, dando el espacio a su Actividad deseada.
Luchan, no para que el vaso transborde, pero para que se rompa definitivamente.
Luchan por la Libertad. La suya, La nuestra, La de Todxs Nosotrxs.

Juntemo-nos al combate.

31 de Mayo, el Títere de la Republica François Hollande vendrá inaugurar la Cité du Vin: fruto de los Sulfatos, fruto de la ganancia de la burguesía burdelesa, fruto de su vendimia de nuestra explotación desvergonzada. Estas son nuestras armas:

  BLOQUEO      RESISTENCIA      SABOTAGE         VIDA MAGICA

 


[FR]

Presque un an après le blocage de la Rocade, organisé de manière – quasi – informelle, à la raison de l’inauguration de la Citè du Vin et de la venue de François Hollande pendant les moments d’agitation contre la Loi Travail, nous mettons ici en ligne pour la première fois traduit et en support virtuel, l’appel à la grève sauvage qu’à tourné trois jours avant cette journée.
Mise en contexte par Vendanger à la deuxième moitié de l’article.

Appel à la grève sauvage sur les vignes bordelaises – 31 Mai [2016]
Rassemblement unitaire devant la Citè du Vin – Bassins à Flot

Contre l’exploitation de la jeunesse migrante et autochtone
Contre la répression policière à ces mêmes jeunesses
Pour le boycott, occupation et démolition de la Citè du Vin

Depuis le 9 Mars, a lieu un mouvement d’évolution insurrectionnelle en tout le territoire de l’État Français.
Tout s’est activé au moment de la présentation du projet de la Loi “TRAVAILLE!” par l’exécutif Socialiste au Pouvoir.
Mais la tension sociale était déjà insupportable, depuis que Macron, grand industriel, à était promu au Ministère de l’Économie et tous et toutes étaient obligé.e.s d’être Charlie et la Police, héros de l’année 2015.
Aujourd’hui, la seule réalité est celle des rues qui crient
                                               “TOUT LE MONDE DÉTESTE LA POLICE”

Ce mouvement à était lancé par la réponse de la jeunesse à plusieurs appels sans aucune orga en particulier à contester et bloquer l’économie. Les syndicats, depuis le début, sont venus à la remorque, ont essayé plusieurs manœuvres pour dépasser nos banderoles, mais ont étaient relégués au cul de manif à chaque fois. Maintenant, blocages de raffineries, centrales nucléaires, dépôts et le réseau de transports collapsent le flux de marchandises de la grand puissance européenne, et combattent la Loi.

La jeunesse migré des peuples du sud ne peut plus être à part de tout ce mouvement – car sur nous est exercée l’exploitation la plus féroce et éhontée, et en nous réside la force de travail, que soustraite à l’économie et additionnée à la force de blocage économique, nous permettra à tous et toutes une vie magique.
Ne soutenons plus un rôle digne d’un syndicat jaune, car seulement on sera payés avec notre respect et des heures extra sous-rémunérées (la Loi “travaille” prépare la fin des 35h et prévoit la baisse brutale de la rémunération des heures extra).

Pour la jeunesse des cités et lycées de France la patience s’est épuisée.
Ils font des manifestations qui vont au-delà de la simple revendication du retrait de la Loi: en débordant les syndicats, ils luttent pour la dissolution de la BAC, pour le désarmement des corps anti-émeutes (dans les jours antécédents les premières manifestations de Mars ont était commandées de millions de munitions pour les nouveaux flashballs LBD40 y grenades de dispersion distribuées et testées par les États du Maghreb y Moyen-Orient pendant le Printemps Arabe).
Ils mettent à sac les surfaces commerciales, ferment à la caillasse ses cages de l’Éducation – S’insurgent.
Luttent contre la Loi. Luttent contre le Travail.
Ils et elles prétendent pouvoir prendre de la Joie, en donnant l’espace à son Activité désirée.
Luttent, non pour que le verre déborde, mais pour qu’il se brise une fois pour toutes.
Luttent pour la Liberté. La sienne, La Notre, Celle de Nous Tous.

REJOIGNONS LE COMBAT

Le 31 Mai, le fantoche de la République François Hollande viendra inaugurer la Cité du Vin: fruit des sulfates, fruit de l’avarice de la bourgeoisie bordelaise, fruit de la vendange de notre exploitation éhontée. Voici nos armes:

BLOCAGE    RÉSISTANCE    SABOTAGE     VIE MAGIQUE

Mise en contexte

Parti de quelques maisons occupées par des saisonniers dans les alentours de Bordeaux, distribué et répandu bouche-à-oreille sur des squats et campements sauvages dans les zones industro-viticoles de Pessac-Léognan, Libournais et autour de Langon, un appel à grève sauvage a donné place à des discussions informelles et décentralisées un peu partout dans ces zones.

Du coup, ça parlé des formes d’affronter un tel insulte à la condition sous-ouvrière des gens qui bossent les champs des raisins d’Or, tellement l’inauguration de la Citè du Vin était dégueulasse (en plus ils se sont oubliés de nous inviter*), tellement on se fait descendre au niveau d’une grappe quand on se fait remballer chez nous (ou chez une tente humide) après deux heures de travail, ou après qu’un bâtard en costard préfère d’appeler les machines car on se plaigne trop, ou même des cars remplis de misérables prêts à tout faire pour avoir 30 balles pour une demi-journée de traître. On comprend que ces foutus pieds-de-vigne valent plus que nous quand on sait qu’on ne bourra jamais le vin qu’on produit – sauf si volé -, qu’une hectare de vigne vaut plus que tout ce qu’on aura pendant toute notre vie – sauf si cramée -, qu’une bouteille peut valoir plus chère que toute notre vendange, même à la tâche en travaillant comme des dingues pour avoir un peu plus avec quoi rentrer au bled, au coût d’un morceau de nos lombaires. On le sait quand une tradition festive des vendanges, la bataille de grappes, est interdite sous la menace de se faire virer, car “c’est nos thunes que tu jettes la”.

Donc, les tags autour des châteaux, occupations et attaques n’ont pas tardé à se reproduire et répandre dans l’été sur les zones rurales, faute d’une compréhensible manque d’envie de se présenter sur un rassemblement cadenassé Place de la Bourse, faute d’avoir la connaissance sur le RDV à Pont-de-la-Maye, faute de la haine envers le monde qu’essaye de nous posséder par la misère infligée en continu. De même, plusieurs jeunes saisonniers ont pris partie au blocage, et plusieurs groupes ne se sont simplement pas présentés au travail.
Ce n’est pas la question de que les gens bossant les vignes se sont politisées, non, la plupart pas plus qu’elles l’étaient déjà la d’où elles sont venues.
En fait, la question de l’agitation dans les champs est celle de la tension sociale existante déjà arrivée au plus-bas de l’échelle ouvrière-agricole de la France, parmi les premières rouages de la productivité industrielle non-mechanisée, le pion de chantier.
En tout cas, l’importance donnée à ces questions par une grande partie des révolutionnaires français est en théorie et en pratique nulle et même méprisante, préférant s’accrocher soit dans des analyses pré-mâchées d’un post-ouvrièrisme marxiste dépendant d’une ré-radicalisation de la CGT, soit dans un post-modernisme qui la plupart des fois répond avec un sourire cynique à ces questions, tous les deux toujours en attente de quelqu’un ou quelques uns qui se pètent les dents en essayant de briser ses chaînes, pour une fois en plus dans l’histoire se présenter comme le(s) seule(s) avant-garde(s) organisée(s) pour diriger le(s) futur(s) soulèvement(s).
En conséquence, maintenant, tout dépend des discussions dans les campements, dans les maisons, et de surtout des relais des moments déclencheurs d’une possible explosion, pour que sa se répande comme de la foudre autour de la ville, et pour que ces histoires puissent passer de saison en saison, pour s’affiner et exister en tant qu’une façon rurale de contre-productivité industrielle, de conflictualité sociale, d’élan révolutionnaire.

Du coup, pour ne pas se tromper dans des fausses intentions, dans cette perspective voulue informelle et anti-politique, l’organisation à l’état d’une insurrection – dans l’intérêt de celles de ceux qu’étaient et qui sont à ce stade-là ingouvernables, et qui, dorénavant, voudront être libres – ne réside pas dans une force pré-existante, constituée autour d’intérêts et rites particuliers, sinon dans une tension qui ne peut plus rentrer dans sa case, et qui dans les moments et rencontres opportuns, par soi-même démoli ce qui l’est superflu et maîtrisant, et bâti ce qui est nécessaire et émancipatoire, la ou c’est voulue, quand c’est voulu, par qui l’est voulu.

Mais bon, entretemps il faudra que la Rocade devienne une voie cyclable.
Et que la Citè du Vin devienne un énorme cubis de vin à libre-service.
Ou un énorme verre cassé, jeté dans la Garonne.

Bon, en réalité, un an après, la Cité du Vin continue d’ouvrir ses portes, entre tags de mots-d’ordre contre le Travail et des blazes de jeunes de citè. Ou pas.
Entretemps, le siège se forme autour des Métropoles militarisées. Les bourgeois se retranchent derrière les remparts de Châteaux, Boulevards, résidences privées. Vigiles, flics et militaires courent partout pour assurer que les barbares ne prennent pas la ville d’assaut, d’un jour au lendemain… des centaines d’années de travaille esclave seraient bousillées en quelques minutes, des vins gardés dans des caves pendant des dizaines d’années seraient coulées dans des gorges impures… surement la fin de la Civilisation, quoi.

Comme des vandales pour un Empire Romain,
l’anti-fRance n’est plus un bouc-émissaire, mais devient une réalité antagoniste à celle que nous est couramment imposée, jour par jour, heure par heure.
Une réalité qui est inné de nos désirs, en passant par le renversement de l’éxistant.

*LISTE DES INVITES (dont pas nous):
http://www.laciteduvin.com/fr/retour-sur-linauguration-de-la-cite-du-vin

Bloc Occupé ce mardi à St. Mich / Bloque Okupado este martes en St. Michel – Bordeaux

[CAS] Este martes, por el mediodia, en un callejon del barrio st. Michel en Burdeos, se han dado hechos  mas bien fuertes para la sociedad francesa,despues elecciones espectacularmente ridiculas, particular y generalmente xenofobas.

Entonces, un domingo, africanos del norte, europeos del sur, franceses, solicitantes de asilo subsaharianos, en corto, toman de forma unilateral un conjunto inmobiliario que estaba en manos de un gran consorcio publico-privado. InCité, hija de la Metropole burdelesa, el padre sera probablemente el Estado y algunos grandes corporatos de las obras publicas y de la gestion inmobiliaria, como Vinci y Domofrance.
A la llegada del segurata al servicio de la seguridad de los locales vaciados hace 2 años y medio*, la decena de personas presentes sale a la calle para dejar ver al señor el interior del edificio en reestructuracion okupa. El agente, aterrado, se aleja y toma su smartphone, llamando a su patron y a los Agentes del Orden, temiendo las posibles consecuencias de un error de calculo numerico-legal. Males de una profesion tan semejantemente mal-paga, auto-degradante y inutil.

Mientras, alguna peña, tanto habitantes que estaban afuera como sus apoyos, quedan afuera en los cruces para vigilar el gracioso desfilar de carnaval de las corbatas y uniformes metropolitares. Para hacerlo corto – corbatas, maderos, paletos (saltando una ventana para cortar la luz, del lado de la calle Planterose), y finalmente, el oficial de justicia, Jean Casimiro, verdugo legal de mayor parte de los archivos de okupacion de la metropole, que procede a hacer su aparentemente inofensivo  curro de tomar los nombres, sacar fotos, y ser insultado de sucio bastardo por parte de veraneantes.
Por conseguiente, una primer victoria por el establecimiento de una okupa esta cercana.

Vamos, este martes a sido tambien el primer dia de trabajo apos este finde alargado por el festivo dedicado a la final de la segunda guerra mundial, para la vida burdelesa tambien particular del barrio de st. Michel.
Mayoritariamente habitante del barrio, evoluyendo durante un periodo especifico de la historia, las gentes de st. Mich – no puede ser una identidad comun, la encuentro mas bien esparcida y heterogenea -, estan habituadas a instalarse y mudarse. Un periodo reciente de un barrio, desarrollado entre transformaciones, tormentas y movimientos bruscos y masivos de poblaciones y mercancias. Por planificaciones metropolitanas perforando la naturaleza rebelde de sus plazas y calles.

Por revueltas de medianoche. Por conciertos al final de la tarde.
Bueno, entonces los ocupantes dicen que el vecindario es simpatico y compreensivo.
St. Mich es un nucleo que se teje de historias, no? Aaah.
Barato. Caliente. Proximamente un solo seco sobre el quel construir una vida para mas de una decena de personas, algunas endosadas de indeseables por el Estado francés -y no solo-, pero para un cierto vecindario que se identifica en la vida no-linear y inquietante de st. Michel, la confianza se desarrolla en otros tipos de relacion.

Okupa tu vida, abandona tus cadenas, las quebraremos asi que nos encontremos.
Salud, nos vemos en los tejados.


(El alquiler es el robo)

*el lado de la calle de Bouviers a sido previamente habitada por un joven colectivo, que habian nombrado el lugar ‘el Streum’. Aqui un enlace para un pedazo de su historia:
https://fr.squat.net/2014/03/22/bordeaux-presentation-du-streum-et-semaine-de-travaux

[FR] Ce mardi, vers midi, dans une ruelle du quartier st. Mich, se sont derroulés des faits plutôt accablantes pour la bonne société française, aprés des élections spectaculairement ridicules et particuliérement et en géneral, xénophobes.

Alors, un dimanche, des nord-africains, sud-européens, français.es, demandeurs d’asile subsahariens, bref, des gens prennent de forme unilatérale un ensemble immobilier qu’était aux mains d’un gros consort publico-privée. InCité, fille de la Métropole bordelaise, le pére sera probablement l’Etat et quelques gros corporats de la gestion immobilière, dont Domofrance.
A la venue d’un vigile au service du mantien de la sécurité des locaux vidées ça fait 2 ans et demi*, la dizaine de gens présentes sort à la rue pour laisser montrer à messieur l’intérieur du bâtiment en ménagement. L’agent, terrifié, s’éloigne et prend son smartphone, appelant son patron et les Agents de l’Ordre, craignant les possibles conséquences d’un erreur de calcul numerico-légal. Maux d’un métier de forme aussi pareillement mal-payée, auto-dégradante et inutile.

Entretemps, quelques gens, autant des habitants qu’étaient en dehors comme ses soutiens, restent dehors sur les croisements pour surveiller le joli défilé de carnaval des cravates et uniformes métropolitaires. Pour faire bref – cravates, keufs, ouvriers (sautant par une fenêtre sur une porte pour couper l’élec, côté Planterose), et finalement, l’huissier, Jean Casimiro, bourreau légal de plupart des archives de squat de la métropole, qui procéde à faire son apparament innouit boulot d’enlever des noms, prendre des photos, et d’être insulté de salle bâtard par des passants.
Du coup, une première victoire pour l’établissement d’un squat est proche.

Bref, ce mardi a aussi été le premier jour de travail aprés ce weekend élargi par un férié dédié à la fin de la 2éme guerre mondiale, pour la aussi particulière vie bordelaise du quartier st. Michel.
Pour la plupart habitante du quartier, évoluant pendant une période spécifique de l’histoire, les gens de st. Mich -ce ne peut pas être une identité commune, je la trouve plutôt éparse et hétérogéne-, se sont habituées à aménager et démenager. Une période récente d’un quartier, developé entre transformations, tourmentes et bousculements massifs de populations et marchandises. Par des aménagements métropolitains perçant la nature rebelle de ses places et rues.
Par des révoltes de minuit. Par des concerts en fin d’aprem.

Bon, du coup les occupants disent que le voisinage est sympha est comprehensif.
St. Mich est un noyau qui se tisse d’histoires, ne l’est il pas. Aaah.
Pas cher. Chaud. Bientôt un sol sec sur lequel bâtir une vie pour plus d’une dizaine de gens, pour quelques endossées d’indésirables par l’Etat français -et pas que-, mais pour un certain voisinage qui se revoit dans la vie non-lineaire et ébranlante de st. Michel, la confiance se develope dans d’autres rapports.

Squat ta vie, déserte tes chaînes, on les cassera aussitôt qu’on se retrouve. Salut, on se voît sur les toîts.

*auparavant le côté de la rue des Bouviers à était habité par un jeune collectif, qu’avaient nommé le lieu ‘Le Streum’. Voici un lien pour un bout de son histoire:
https://fr.squat.net/…/bordeaux-presentation-du-streum-et-s…

Saison Vendangereuse

Vendanger ne previent pas. Vendanger no previene. Vendanger apparaît. Vendanger aparece.
Salud, Salut

Vendanger toma parte del comienzo del Fin. Vendanger prend le parti du début de la Fin. 

Vendanger no viaja, migra. Vendanger ne voyage pas, il migre. Vendanger no tiene lengua, vendanger no tiene patria. Vendanger n’a pas de langue, vendanger n’a pas de patrie.

Esta harto de currar; y viene de empezar. Il en a marre de bosser; et il vient d’embaucher. No puede mas ni con el ruido de las maquinas, ni con el color de banderas, ni con el olor del dinero. Il n’en peut plus ni du bruit des machines, ni de la couleur des drapeaux, ni de l’odeur de l’argent.

Su vision apocaliptica empieza por el amanecer. Sa vision apocalyptique commence par l’aube.
Su utopia por el fuego. Son utopie par le feu.

Vendanger solo tiene pesadillas al despertar. Vendanger ha sido sulfatado. Y piensa beber su vino, todo el vino del mundo, hasta sus suenos mas profundos. Vendanger a seulement des cauchemards à son réveil. Vendanger s’est fait sulfater. Et il pense boire son vin, tout le vin du monde, jusqu’à ses rêves les plus profonds.

Vendanger durme en un acampamento, o acampa en una okupa, en el asiento de atras de un coche, o en el maletero de un furgon…
Vendanger dort dans un campement, ou il campe dans un squat, sur les siège arrière d’une voiture, ou dans le coffre d’un fourgon…

Y suena con su Château ardiendo. Et il reve de son Château qui brule.
Et du vin qui coule.
Y del vino que fluye.

Vendanger s’est faît réveiller. Vendanger a sido despierto.
Por el dinero. Par l’argent. 
Y rompera todas las fronteras para volver vivo con el pillage.
Et il cassera toutes les frontières pour revenir vivant avec le pillage.

Y un vendanger nunca esta solo. Et un vendanger n’est jamais seul.

Car, Pues
Si el tiempo es dinero, nos deben una vida de esclavos
Si le temps de l’argent, ils nous doivent une vie d’esclaves

La jornada Internacional del ocio / La journée Internationale de l’oisivité

Pour ‘inaugurer’ la page après cette journée du 2 Mai, voici un briève texte traduit d’un journal du nord-ouest de la Peninsule Iberique sur la lutte de l’oisivité. Para ‘inaugurar’ la pagina despues de esta jornada del 2 de Mayo, aqui va un breve texto traducido de un periodico del noroeste de la Peninsula Iberica sobre la lucha del ocio.

A la memoria de los mineros ociosos de Gdansk.
A la memoire des mineurs oisifs de Gdansk.
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El 2 de Mayo

En 1896, los mineros de Dantzig (hoy Gdansk) , Polonia, se encontraban en huelga de brazos caidos. Mientras que la mayoria de los trabajadores paraba por la jornada laboral de ocho horas, estos mineros, reclamando una reduccion de la jornada a cinco horas, han marchado el 1 de Mayo para ocupar sus puestos de trabajo de forma ociosa por un tiempo indeterminado.

Aunque la ocupacion fue pacifica, los trabajadores han cercado con explosivos la boca de la mina para impedir la entrada de las fuerzas de la represion. En respuesta, le 2 de Mayo, las tropas del ejército han atacado con cañones el lugar, cuya entrada se ha derribado, provocando la muerte por asfixia de 67 mineros.

Ese mismo año, Paul Lafargue (autor del mitico panfleto “Derecho a la Pereza”), ha propuesto en el parlamento francés que aquel dia fuese recordado y declarado festivo oficial. Aun que la propuesta no haya prosperado, un grupo de disidientes de la Primera Internacional de los Trabajadores le ha mencionado de nuevo durante el intento de formacion de una Internacional Ociosa en la ciudad de Burdéos, Francia, en 1898. Esa reunion (regada con abundante Pernod y absenta, por el que se ha terminado disolviendo en plena euforia etilica), donde se ha redactado un documento llamado “Prolegomenos para una sociedad del ocio”, a propuesto, entre otras, una consigna diametralmente oposta a los discursos de todas las organizaciones de trabajadores de entonces:

“ A cada uno según sus necesidades, de cada uno según su voluntad ”

Y por mocion del delegado polaco Ren Kowalski, sobrevivente de la matanza de Danzig, fue llamado a que el 2 de Mayo fuese declarado “Dia Internacional del Ocio”

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Le 2 Mai

En 1896, les mineurs de Dantzig (Gdansk), Pologne, se trouvaient en grève et occupation de la mine. Cependant que la majorité des travailleurs arrêtaient leur travail pour la journée de huit heures, ces mineurs, réclamant la réduction de la journée à cinq heures, ont marché le premier Mai pour occuper leur post de travail de façon oisive pour un temps indéterminé.

Même si l’occupation était pacifique, les travailleurs ont assiégé la bouche de la mine avec des explosifs pour empêcher l’entrée des forces répressives. En réponse, le 2 mai, les troupes de l’armée ont attaqué le lieu au canon, l’entrée s’est écroulé, provocant la mort par asphyxie de 67 mineurs.

L’année même, Paul Lafargue (auteur du mythique pamphlet « Droit à la Paresse »), a proposé au parlement français que cette journée devienne célébrée et soit déclarée férié official. Même si la proposition n’a pas prospéré, un groupe de dissidents de la Première Internationale des Travailleurs, a mentionné a nouveau la date à l’occasion de l’essai de formation d’une Internationale Oisive à Bordeaux, en 1898. Cette réunion (arrosée au Pernod et à l’absinthe en abondance, pour lequel elle s’est finie dissolue en pleine euphorie éthylique), où a été rédigé un document nommé « Prolégomènes pour une société de l’oisiveté », a proposé, parmi d’autres, un mot d’ordre diamétralement opposée aux discours de toutes les organisations de travailleurs d’alors :

« A chacun selon ses besoins, de chacun selon sa volonté »

Et pour motion du délégué polonais Ren Kowalsky, survivant de la boucherie de Danzig, a été appelé pour que le 2 mai soit déclaré « Jour International de l’Oisivité ».

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Anonimo,
aparecido em 
Abordaxe n°8, buletim informativo anarquista
Galiza, Maio 2016